DC’s Legends of tomorrow (série)

Un univers très différent du dernier article sur les grands naturalistes du XIXè siècle. En effet, aujourd’hui une série sur des super-héros du multiverse DC Comics…

Petit retour en arrière : il y a plusieurs années, une amie me conseillait la série Green Arrow, sur un justicier dans une ville ravagée par la corruption… Inutile de dire que le côté super-héros + acteur extrêmement beau gosse m’a convaincu. Par contre, ce bel héros étant particulièrement sombre et torturé, c’est plus la galaxie de personnages connexes qui m’ont fait continuer : John Diggle, le loyal garde du corps, Felicity Smoak, geekette extraordinaire, Laurel Lance, l’avocate au grand coeur…. 1ère plongée dans l’univers télévisé DC Comics.

Deuxième incursion à travers la série Flash plus récemment, sur le gentil super-héros qui court le plus vite, et qui a travers ses aventures rencontre d’autres héros, d’autres villes (Green Arrow), d’autres mondes (Super-girl)… et d’autres époques : les Legends of Tomorrow!

Ces fameuses légendes sont une équipe de super-héros de tous genres : une assassine, un scientifique millionnaire avec une armure innovante inventée par lui, un superhéros radioactif composé d’un jeune mécanicien et d’un physicien, un couple de demi-dieux égyptiens réincarnés et deux anciens méchants, encadrés par un capitaine défenseur du temps (Time master). Ils ont pour mission de réparer le temps et lutter contre des super-méchants qui vont détruire le monde (forcément).

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Long time no see…

Bonjour lecteur (coucou maman), je suis désolée de ne pas avoir vraiment donné signe de vie depuis fort longtemps. Tout va bien, mais dans cette atmosphère assez bizarre de « nouvelle normalité », et du fait d’être un peu déconnectée de l’ordinateur depuis un petit moment, même si j’ai avancé dans pas mal de lectures et de relectures, je n’ai pas donc écrit d’articles…. ¨Petit rattrapage, avec cet été, petite volonté de découvrir des classiques

Son Excellence Eugène Rougon, Emile Zola

6ème volume de la série des Rougon Macquart, livre consacré à la fortune d’Eugène Rougon. Il permet d’explorer les coulisses politiques du second empire à travers un groupe uni non pas par l’amitié comme ils peuvent le prétendre mais par un nœud d’intérêts mélés, où chacun espère que la fortune d’Eugène Rougon sera l’occasion de la sienne, car la politique et les affaires sont intrinsèquement liés.

Efficace et malheureusement beaucoup trop actuel…

Nana, Emile Zola

9ème volume de la série des Rougon Macquart, livre consacré au monde des courtisanes et mondaines à travers le personnage de Nana qui commence en tant qu’actrice et prostituée à affoler la société parisienne avant d’en devenir une « cocotte » installée et reconnue. Son appétit et l’absence complète de limites dévore néanmoins la fortune de tous ses amants et la déchéance et la mort arrivent à point nommé avec la fin du deuxième empire et la guerre franco-prusse.

Comme pour toute la série, livre à la fois incisif et à mon sens insensible, où aucun des personnages n’est dépeint de façon à attirer la sympathie, mais avec suffisamment d’humanité toutefois pour tenir en haleine jusqu’au bout

Middlemarch, Georges Eliot

Après tout, quitte à expérimenter les naturalistes, autant traverser également la Manche : fresque sur les différents destins de bourgeois de la petite ville (imaginaire) de Middlemarch dans le centre de l’Angleterre dans la première moitié du XIXème siècle. On y croise Dorothea Brooke jeune orpheline bien lotie aux idées trop arrêtées qui épouse un prédicateur austère dans l’espoir d’être élévée intellectuellement et spirituellement, un jeune médecin ambitieux qui espère faire fortune et faire avancer la médecine également…

Je confesse que malgré le plaisir que j’ai eu à lire la première partie, le livre m’est un peu tombé des mains ensuite et je ne l’ai pas repris pour l’instant. Mais je ne perds pas espoir.

Les secrets d’une charmeuse de bébés, Tracy Hogg

Dernière lecture à date, ce petit livre tiré de l’expérience de Tracy Hogg en tant que sage-femme puéricultrice aborde l’importance de reconnaitre dans son bébé une personne à part entière, avec un langage à elle pour permettre une intégration la plus douce possible du bébé dans la vie familiale.

Je n’ai pas encore fini ; et comme il ne s’agit pas d’un roman je ne crois pas que ce soit nécessaire de le lire linéairement, mais je suis assez en phase avec les grands préceptes. On verra bien à quel point c’est approprié!

Northanger Abbey, Jane Austen

Moi qui avait si bien commencé ce confinement, voilà deux mois que je délaisse le blog, désolée…..

Mais dans le cadre du mois anglais, comment éviter Jane Austen ? Surtout depuis que j’ai enfin osé le lire dans la superbe édition que m’a offert mon merveilleux époux.

Northanger Abbey est le dernier publié de ses 6 livres mais rédigé parmi les premiers.

Une perle.

Et pour vous aguicher, un petit extrait, du merveilleux Mr Tilney

Telle est votre définition du mariage et de la danse.

Vus sous ce jour, leur ressemblance n’est pas frappante mais je pense que je pourrais présenter les choses de la façon suivante. Vous m’accorderez que, dans les deux cas l’homme a le pouvoir de choisir et la femme seulement celui de refuser, que dans les deux cas il s’agit d’un engagement contracté entre un homme et une femme dans l’intérêt de chacun et qu’une fois qu’ils se sont engagés, ils s’appartiennent exclusivement l’un à l’autre jusqu’à la dissolution du contrat, que chacun a pour devoir de s’efforcer de ne donner à l’autre aucune raison de regretter son choix et que leur intérêt le mieux compris est d’empêcher leur imagination de s’égarer sur les perfections d’une autre personne ou l’imaginer qu’ils eussent pu être bien mieux avec quelqu’un l’autre. M’accordez-vous cela ?

Expiation, Elizabeth Von Arnim

Le teasing a suffisamment duré, il est temps de vous parler de cette perle dénichée fin janvier dans un recoin du Waterstones de Trafalgar Square ….Car Von Arnim fait hélas partie de ces auteurs qu’on cherche en se disant « Sait-on jamais, peut-être que… » : fortement méconnue, ayant écrit peu de romans, elle n’est jamais vraiment en stock. Or pour l’instant, ZERO déception, que ce soit à travers Fraulein Schmidt and Mr Anstruther, découvert grâce à Ellettres, Enchanted April, ou Vera, cet auteur fait partie de mes auteurs anglophones préférés.

Petite précision – ce livre n’a RIEN A VOIR avec Expiation (Atonement) de Ian Mc Ewan.

Dans Expiation, on entre dans l’univers de la famille Bott, famille bourgeoise de la banlieue cossue de Londres. Ils sont tous réunis pour l’ouverture du testament de l’un des frères, Ernest, qui laisse derrière lui une veuve admirée et aimée par le reste de la famille. Milly, 45 ans, est en effet le modèle de la femme idéale, respectable, dévouée, qui a su s’arrondir avec les années, l’image même de la femme confortable. Alors qu’ils se préparent à choyer cette belle-sœur exemplaire, ils découvrent que son mari l’a exclu de son testament, ne lui laissant que 1000 livres en tout et pour tout. Que lui vaut cette déchéance ?

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Downton Abbey, Julian Fellowes

Pour continuer sur les séries à voir ou revoir pendant le confinement, petit article sur un Period Drama que j’affectionne…

Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore, je dirais

  1. Quelle chance! Avoir du temps pour pouvoir voir tous les épisodes, et se plonger ainsi pour une première découverte de l’univers à succès qui débute en 2010 sur ITV
  2. En grosses mailles, la série suit la famille Crawley à partir du naufrage du Titanic jusque dans les années 1920, à travers les amours et les chamboulements d’un monde qui change : l’aristocratie anglaise et sa domesticité à travers de ces années cruciales qui basculent de l’Angleterre d’Edward VII aux années folles et à la chute de nombreux propriétaires terriens.
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